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Passionné depuis toujours par notre patrimoine minier Nordiste,
je vous fais partager à travers ce blog, quelques articles et photos de ma collection relatifs à cette fabuleuse épopée minière, fait marquant de toute l'histoire d'une région.
Je vous recommande vivement, en parallèle, de consulter le merveilleux site:
" Histoires de ch' tis "
de Marie-Claire Tampier et de Dominique Villain alias " Minloute ", qui est sans aucun doute, le plus important site du net, consacré à l'histoire de notre patrimoine.
18000 articles, accompagnés de 9000 photos.
Ce site de toute beauté, dont je suis également chroniqueur, n'a pas de pareil sur le web quant à la richesse de son contenu en termes de documents, témoignages et photos sur l'histoire de notre région.

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Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde

 
 
Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde
 
 
 
Visite cette après-midi au Centre Historique Minier de Lewarde afin de découvrir l'exposition " Des machines et des hommes " qui, rappelons le, est présentée au public du 19 juin au 31 décembre 2012.
 
Consacrée à l' évolution des techniques minières dans le Nord Pas de Calais, Des machines et des hommes montre, à l'aide de plans et de maquettes, comment ces techniques ont évolué selon les nouvelles énergies disponibles et les nouvelles connaissances acquises grâce aux recherches scientifiques effectuées dans les bassins miniers du monde entier
 
En photo : tambours rotatifs de moulage issus des presses à boulets de l' usine d' agglomération du N° 10 d' Oignies.
 
 
 
Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde
 
 
 
Belle maquette de chevalement figurant dans la salle des expositions.
Il surplombe un puits dans lequel évolue une cage que le jeune public peut faire monter ou descendre au moyen
d' une manivelle.
Bel outil didactique permettant aux enfants et aux plus grands de comprendre la fonction des chevalements dont la plus part sont aujourd' hui disparus du paysage de notre bassin minier.
 
 
 
Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde
 
 
 
Maquette d' une taille en plateur ( pente  inférieur à 25 ° ) avec étançons métalliques ( vers 1950 ).
Foudroyage par dépilage des traverses de bois visibles en avant plan.
Cette maquette est issue des mines de Lourches dans le Nord.
 
 
 
Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde
 
 
 
Détail de la voie de pied avec le convoyeur à bande recevant les produits.
Les détails sont saisissants de réalité.
 
 
 
Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde
 
 
 
Autre maquette didactique intéressante, qui puise ses origines au Centre de Formation Professionnelle des mineurs de Montigny en Ostrevent.
Elle nous montre la progression d'une taille montante oblique en demi pendage.
Abattage au marteau piqueur.
Soutènement bois et rallonges.
Déblocage par couloir fixes, remblai complet.

Explication de mon ami Jacques Janquin de Bruay, ancien agent de maîtrise de l' UP 6 d' Haillicourt:
" Superbes maquettes,très compréhensibles pour nous anciens hommes du fond,mais qui seraient difficiles pour l'expliquer aux non mineurs de fond.
Je prend la photo de la taille exploitée en couloirs fixes, pour moi c'est le système du dressant ( dans lequel j'ai eu l'occasion de travailler ) la pente de la veine étant trop forte, on l'exploite de biais, qui permet de diminuer la pente.
Pour la sécurité du mineur à l'abattage, ce chantier se compose de différents gradins permettant de protéger le personnel des chutes de blocs de ce qui ceux se trouvent en aval du chantier.
Chaque mineur dans son gradin fait en premier sa coupure en avant, pose un premier bois à 50cm dans la coupure,et prolonge sa coupure de 50cm et repose un nouveau bois, entre le daisne et le toit, on appelait cela des bois de chapeau.
Ensuite il pouvait continuer l'abattage du charbon dans son tronçon en descendant en boisant au fur et à mesure de l'abattage du charbon.
Pas de problème de sécurité en fonçant le stot pour son collègue travaillant en aval, car lui aussi avait fait sa coupure en avant dans le massif de la veine.
J' en reviens donc à notre premier mineur qui est dans sa coupure son copain qui est en amont peut lui aussi foncer son stot, car tous les mineurs travaillant dans ce chantier sont protégés dans la coupure de leur gradin. "
 
 
 
Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde
 
 
 
Un des clous de l' exposition, et quelle pièce historique :
Une porte d' aérage en chêne utilisée au fond de la fosse Saint Mathieu des mines de Douchy, autrefois appelée par les mineurs " féniesse "
au milieu du XIXème siècle.
Lourd objet, bien conservé malgré son age avancé.
 
( photos: andredemarles )




Tags : Centre Historique minier de Lewarde, exposition, musée
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#Posté le samedi 10 novembre 2012 16:01

Modifié le vendredi 16 novembre 2012 17:08

Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde -1

 Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde -1
 
 
J'ai profité de cette exposition pour visiter de nouveau les galeries du fond reconstituées suivant les différentes époques de notre épopée minière.
Ci dessus , un mineur du début du XXème siècle avec le traditionnel jupon de lin ( tenue de travail de l' époque ) et la barrette der cuir bouilli.
 
 
 Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde -1
 
 
A une autre époque plus avancée, le mineur qui portera cet équipement jusque la fin de l'exploitation dans notre région Nordiste.
 
 
 Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde -1
 
 
Abattage au piqueur.
 
 
 Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde -1
 
 
L'atelier de triage de la fosse Delloye, le personnel y travaille dans des conditions difficiles, sous l' ½il attentif du porion situé sur la passerelle.
Cet atelier est d' origine, presque rien n'a été modifié sur le site même où il est toujours implanté.
La fosse Delloye cessa son  activité en 1971 après 40 années d' exploitation.
L' atelier de triage arrêta son activité au début des années 1950 avec l' arrivée des lavoirs  à liqueur dense
 
 
 Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde -1
 
 
Quelques mannequins en tenue d' époque ont été implantés sur les postes de travil de cet atelier de triage manuel.
Des femmes des hommes réformés des activités du fond et des galibots y travaillaient dans la saleté,
des nuages de  poussières de charbon abondants, un bruit infernal et une cadence de tarvail soutenue pour un salaire misérable...
 
 
 Exposition " Des machines et des hommes " au Centre Historique Minier de Lewarde -1
 
 
Une des photos de l'exposition représentant une équipe d' abouts affectés au forage d' un puits en 1906.
Vous remarquerez que la barrette de cuir des mineurs est équipée de la traditionnelle astiquette.
 
( photos : andredemarles )
 




Tags : Centre Historique minier de Lewarde, exposition, musée
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#Posté le dimanche 11 novembre 2012 06:02

Modifié le dimanche 11 novembre 2012 06:32

Sainte Barbe au musée de la mine Jacques DERAMAUX d'Auchel

Sainte Barbe au musée de la mine Jacques DERAMAUX d'Auchel
 
 
 
Comme tous les ans, le 4 décembre, le Musée de la Mine d'Auchel va fêter la St Barbe, et invite la population de la région à la partager avec les anciens mineurs, et les trieuses qui vous serviront le traditionnel «  Briquet » et café à la chicorée.
Les descentes au c½ur de la mine commenceront à 17 h30 avec une cage toutes les demi-heures, la dernière à 19 heures.
Le tarif est de 5 Euros par adulte, 3 Euros pour les enfants de 6 à 16 ans, gratuit pour les moins de 6 ans.
Contacter le musée de la mine le mardi et jeudi matin au 03 21 52 66 10.
Ou au 06 88 78 52 06, ou par Mail :  musee.mine.auchel@orange.fr
 
Venez nombreux !

Un lien vers le site du musée de la mine Jacques DERAMAUX d' Auchel
en cliquant sur l' image ci dessous :

 
index.htm

index.htm

bienvenue au muse de la mine d'auchel

via : museedelamine-auchel.com


 
 
 
Sainte Barbe au musée de la mine Jacques DERAMAUX d'Auchel
 
 
    Vu l'immense succès remporté lors de la 1ére édition du livre des "12 au charbon", et afin de satisfaire de nombreuses demandes, une réédition à été programmée et ce livre est de nouveau disponible.
                    Un cadeau d'un prix modeste, à offrir à la St Barbe, à  la Fête des Pères ou à la Fête du Travail et à tous ceux qui désirent connaître l'histoire charbonnière de notre région.
                    Cet ouvrage, (couverture réduite ci-contre ) comporte 120 pages format 21x29.7.
                     90 photos, dont tous les chevalets des puits de mine de notre région de Bruay à Fléchinelle, 34 planches de fossiles (faune et flore) découverts dans notre sous sol, de l'ère primaire (300 millions d'années) exposés dans les vitrines de l'écomusée.
                     Cet ouvrage au prix de 18 euros est disponible au Musée de la  Mine d'Auchel pendant les heures d' ouverture.
 
Tags : Sainte Barbe, musée de la mine d' Auchel, musée, Auchel, Jacques Deramaux, fossiles
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#Posté le vendredi 02 novembre 2012 16:19

Modifié le vendredi 02 novembre 2012 18:09

ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières

ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières
 
 
 
Vue aérienne de l'ancienne fabrique de lampes minières ARRAS, cliché récemment saisi après la restauration complète du site qui est devenu la Cité nature d' Arras.
Des centaines de milliers de lampes de mineur de cette prestigieuse enseigne ont été fabriquées dans cette usine de 1922 à 1997 ( date de son déménagement ).
Les 3 éléments principaux constituant ce site industriel construit entre les deux guerres sont:
L'atelier de fabrication en béton longeant le boulevard Robert Schuman.
Les entrepôts industriels  en murs de briques.
Le Château d' eau à fût décagonal.
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières
 
 
 
Description de l'architecture de l' usine créée en 1922:
Situation: Boulevard Robert Schuman à Arras (ex Boulevard de la Scarpe).
Site : 25000 m². Atelier de fabrication : 5600 m², nef de 156 m de long sur 24 m de large, murs en béton préfabriqué, verrières sur façades latérales, couverture de trois sheds à caissons, dalles préfabriquées pour les planchers, agencement sur deux niveaux reposant sur une trame de poteaux alignés autour d' une nef centrale, deux mezzanines, avant-corps à la façade stylisée art déco en béton qui abrite les bureaux.
Château d' eau : fût décagonal à nervures saillantes, procédé de construction du type monnoyer.
Entrepôts industriels : murs de briques, en rez-de-chaussée, toits deux versants.
( photo: andredemarles )
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières
 
 
 
Historique:
1898: M. Henri CATRICE, ingénieur arrageois, fonde avec M. Lucien NEU la Société Anonyme d'Éclairage et d'Applications Électrique (S.A.E.A.E.)
pour fabriquer et vendre des appareils électriques  et d'éclairage dont notamment les lampes de mineurs.
Elle fabriquait essentiellement des lampes de sûreté pour les mines (à essence, à huile, à l' électricité et à l' acétylène)
1900: La S.A.E.A.E. L'atelier d'origine, de taille modeste, situé à l'angle des rues d'Amiens et des Chanoines à Arras, fut rapidement remplacé par une usine plus vaste construite rue Constant Dutilleul à Arras.
Le premier actionnaire de la société est la Compagnie des Mines de Béthune.
1915 :La S.A.E.A.E. déménage sur Paris suite à la destruction de son usine par les bombardements de la Première Guerre Mondiale en 1914.
Elle était située aux numéros 16, 18 et 20 de la rue Soleillet dans le XXème arrondissement.
1919: Création de la société MAXEI (Machines Auxiliaires pour l'Électricité et l'Industrie) à Neuilly-sur-Seine qui produit différents équipements
destinés à la fabrication des bobinages de puissance.
1922: Retour de la S.A..E.A.E. sur ARRAS dans une nouvelle usine construite Boulevard Robert Schuman (ex Boulevard de la Scarpe).
Cette nouvelle usine arrageoise est conçue par l' architecte Demartiaux et réalisée par l' entreprise Peulabeuf.
1945: 500 personnes travaillent dans la fabrique arrageoise de lampes minières, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.
1952: MAXEI commercialise son premier appareil de traitement d'huile sous vide.
1959: Création d' ARRAS-MAXEI suite à la reprise de MAXEI par la S.A.E.A.E.
1990: ARRAS-MAXEI reprend la société BOUHARMONT qui fabrique des machines spéciales pour le conditionnement et la mise en ½uvre de matériaux souples (fils, gaines, câbles, profilés).
1992: Création du groupe MAXEI.
1997: L'ancienne usine ARRAS est rachetée par le district urbain pour les besoins du CESTAR (Centre des Sciences et des Techniques Agro-alimentaires) qui souhaite y installer un pôle culturel et scientifique.
projet de réhabilitation est confié à l' architecte Jean Nouvel.
ARRAS-MAXEI quitte son site d'ARRAS devenu aujourd'hui centre d'exposition (Cité Nature) pour s'installer dans de nouveaux locaux de 5 000 m2 en bordure de l'autoroute A1, dans la zone d'activité Artoipôle à Monchy-le-Preux.
Les machines principales de fabrication des lampes ( presses à emboutir....) à la fois, énormes et vétustes sont démantelées et ferraillées.
2005: Inauguration de la Cité Nature, implantée dans l'ancienne usine située Boulevard Robert Schuman, le 8 octobre.
2009: MAXEI SAS devient MAXEI Group SAS et les deux divisions d'ARRAS MAXEI prennent une nouvelle entité :
La division ENERGY regroupe toutes les activités liées au secteur des transformateurs et du bobinage,
La division PROCESS INDUSTRY regroupe les activités machines spéciales et réalisation de sous-ensembles et de pièces mécaniques.
2010: MAXEI Group reprend la société DROULET Industries située à Roubaix pour renforcer le potentiel de la division Process Industry d'ARRAS-MAXEI.
La complémentarité des ressources et des savoir-faire des deux sociétés permet de renforcer et d' élargir la gamme de services proposés à leurs
clients respectifs .

Toutes les archives relatives aux différents modèles de lampes minières conçus et réalisés par cette ancienene firme ( plans de fabrication, d' outillages.... ) ont été conservées au sein de la nouvelle usine ARRAS MAXEI.

Quelques anciennes machines issues des ateliers Boulevard de la Scarpe on été conservées au même titre que certaines ébauches de fabrication de pièces de lampes ainsi qu'un modèle Marsaut type PHr.
Ces pièces appartenant désormais au patrimoine industriel arrageois, sont exposées au public, et c'est par ces dernières regroupées dans une salle, que débute la visite de la Cité Nature.
( photo: andredemarles )
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières
 
 
 
Quelques modèles courants de lampes de sureté à flamme et de lampes électriques, fabriqués par la firme ARRAS:

En haut, de gauche à droite:
PHr ( huile ) ; Mh ( huile ) ; Wolf B ( essence ) ; Wolf C ( essence ) ; Wolf Standard ( essence )

Les modèles PHr et Mh étaient des lampes Marsaut qui fonctionnaient à l' huile végétale épurée.

Le modèle B se déclinant en plusieurs types ( BN, BNF, BAN ) a essentiellement été conçu pour les mines de Blanzy.
Ce type de lampe était doté d'une fermeture à cliquet latéral qui venait s'insérer dans un cran d'une crémaillère circulaire sur la galerie et qui était scellé à la lampisterie par un rivet de plomb avant la descente.

Le modèle CF, agréé le 06/01/1953, fut la dernière lampe de sécurité à flamme de type Wolf fabriquée par ARRAS.
Elle fut d' usage au fond jusqu'en février 1985, année de la catastrophe du puits Simon à Forbach en Lorraine ( 22 victimes à l'étage - 1050 m ) où cette lampe fut sérieusement mise en cause et tenue responsable de cette tragédie, après enquête des experts.
Après cet accident plus aucune lampe de sureté à flamme ne descendra au fond des charbonnages et ce jusque l'arrêt de l'activité minière en France.
La détection des gaz se fera dés lors au moyen de grisoumètres type VM1 (1955 ) ou Verneuil ( 1954 ) et de capteurs CH4.
ARRAS continuera sa production de lampes à flamme pour d'autres exploitations minières surtout destinées à l'exportation.

Le modèle Standard fut agréé par La Commission Nationale du Grisou en 1918 et fut largement utilisé dans les mines du Nord pas de Calais vers 1920, il succède au premier modèle de lampe Wolf fabriquée par La S.A.E.A.E., le type Arras 1912 avec une fermeture à double cliquets opposés.
La lampe Standard, pesant 2 kilos se déclinait en deux modèles, l'un avec le réservoir en acier, l'autre avec un réservoir en laiton conçu pour les mines de Courrières.
Cette lampe était équipée d' une puissante fermeture magnétique verticale montante, type " Villers Petit ".
Ce second modèle se présente bien souvent dépourvu de son rallumeur latéral à bande, conformément aux exigences de cette Compagnie Nordiste, son logement dans la rave étant obturé par une plaque brasée sur cette dernière.
ARRAS est à l' origine du brevet de la lampe Standard, mais d'autres constructeurs ont exploité ce brevet.
Le modèle Standard a été  également fabriqué par la Compagnie Française Auxiliaire des Mines de Douai, mais aussi la Société d' Eclairage des Mines et d' Outillages Industriels de Loncin les Liège ( S.E.M.O.I. ) qui était une filiale de la société ARRAS.
C'est ainsi que sur certaines de ces lampes on peut distinguer sur la rave ou la base de la galerie l' estampille " Belgique " et qu'elles sont   en conséquence dépourvues de la plaque de firme " ARRAS " brasée sur le réservoir.

ARRAS a construit également le modèle Wh, lampe Marsaut à huile  avec une fermeture magnétique ainsi que les lampes Wolf ( à essence ) RN et SM à mèche ronde et le modèle PE ( allumage à pile sèche ).
En 1923, la firme met en service le modèle Molnia dont le brevet fut d'abord exploité par la firme Ferrette et Fournier.
Il s'agissait d'une lampe à haut pouvoir éclairant fonctionnant avec une pompe à injection de benzine, les gaz brûlaient et éclairaient l' intérieur du volume du manchon en pyrex; mais cette lampe fabriquée en quelques centaines d'exemplaires fut vite abandonnée à cause du grand nombre d'accidents qu'elle connu, liés à des explosions de l' outil d'éclairage au fond.

Au centre de gauche à droite :
Lampes électriques : les modèles LD7 ( 1925 ) ; EAN ; LD 10 ( 1927 ) ; LD 10 Ter ; LDG ( 1934 ).
Les dernières lampes électriques à main en usage dans les Houillères françaises ont été rayées de l' inventaire en 1975

En bas de gauche à droite :
Autres lampes électriques : les modèles Bijou ; LD 15 ; ERG ; ERH ; LD 19.

ARRAS  a également fabriqué des lampes à acétylène:
Les modèles basiques en acier étamé ou galvanisé, dits " lampes à clou " aux formes arrondies avec un étrier: les types T1 ;T3 T4 et T5 d'usage courant ( 1930 - 1940 ).
Des lampes minières à flamme protégée, utilisées par certaines exploitations non grisouteuses:
Les lampes type Carmaux, modèles acier  ( AS ) et laiton ( AT ) fabriquées à partir de 1912 jusqu'en 1920 ( manchon de verre d' une hauteur de
100 mm ).
Le modèle AT fut également fabriqué par la firme belge Joris à Loncin.
Les lampes type Decazeville ( 1910 ) utilisées par la Compagnie minière du même nom.
Les lampes KP ou Klein Pujol ( à partir de 1920 ) utilisées pour le forage des puits de mines et par les égoutiers de Paris avec une anse en étrier articulée sur deux axes solidaires de la galerie.
Deux modèles, l' un avec un manchon de verre d' une hauteur de 60 mm, un autre avec un verre de 75 mm.
Sans exception, toutes les lampes à acétylène étaient interdites d'usage dans les mines houillères Nordistes.

ARRAS a développé et fabriqué les lampes fixes d'éclairage des galeries fonctionnant à l'air comprimé dites lampes Turbinaires.

La firme arrageoise a conçu et réalisé bien d'autres types de lampes minières depuis sa création en 1898 ( voir plusieurs articles antérieurs ) dont certains modèles de lampes Clanny ( type DS ) ou de lampes Marsaut type Carvin, mais aussi de grisoumètres à alcool type " Chesneau " ( 1900 - 1910 ) fabriqués sous son appellation d'origine: " Ateliers Henri Catrice ".

Photo: montage réalisé par mes soins à partir de clichés originaux d'archives de mon ami collectionneur Denis Caron.
Un lien vers son blog " gremine " en cliquant : ICI
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières
 
 
 
Plaque commémorative fixée sur le mur d'entrée dans la cour de l' usine, en la mémoire des employés de la Société d' Éclairage et d' Applications Électriques, disparus durant les conflits des deux Guerres Mondiales.
( photo: andredemarles )
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières
 
 
 
Vue de l' intérieur du bâtiment principal de l'ancienne usine ARRAS, devenu le musée Cité  Nature.
L'architecture originelle des lieux a été préservée en grande partie.
( Photo: andredemarles )
 
 

 
Tags : lampes de mineur, ARRAS, usine ARRAS, MAXEI, musée
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#Posté le samedi 30 juillet 2011 04:16

Modifié le mercredi 09 mai 2012 15:22

ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières - 1

ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières - 1
 
 
 
Voici quelques clichés de machines de fabrication de lampes minières,
issues des ateliers de la Société Anonyme d' Éclairage et d'applications
Électriques; actuellement exposées dans un hall de la Cité Nature.
J'ai pu saisir ces photos lors de ma visite dimanche dernier sur le site
arrageois avec l' accord de l'adjoint du conservateur du musée ( les photos
étant interdites dans l' enceinte de la Cité Nature ).
Ce fut pour moi un retour aux sources dans cette ancienne usine où j'ai
effectué mes tous débuts professionnels en 1980 au sein du bureau d'étude.

Voici une presse manuelle à bras servant à emboutir les corps de réservoirs.
Il manque sur la partie inférieure l' outillage de forme.
Le poinçon monté est de forme hexagonale et les dimensions de ce dernier que
j'ai pu relever sur le site, correspondent à l' empreinte que l' on retrouve
sous les pots de lampes à acétylène type Carmaux et Klein Pujol, fabriquées
par cette firme.
Dans les lampisteries, on se servait de cette empreinte, pour insérer la
lampe dans une forme correspondante fixée sur l' établi pour faciliter le
démontage de la lampe, parfois grippée entre les deux cuves par les résidus
de combustion du carbure de calcium ( chaux colmatée ).
( photo: andredemarles )
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières - 1
 
 
 

Détail sur la plaque de firme numérotée de la machine où l' on distingue
l'estampille du constructeur:
Société d' Éclairage et d' Applications Électriques.
Le numéro 210 laisse penser que le nombre de machines de cet atelier qui comptait 500 personnes en 1945, était relativement important.
( photo: andredemarles )
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières - 1
 
 
 

Détail d'un tour à dresser et fileter servant à l' usinage des raves de
réservoir, des galeries et des bagues filetées des cuirasses.
Cette pièce du musée a été parfaitement restaurée.
( photo: andredemarles )
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières - 1
 
 
 
Détail d' une mortaiseuse d'époque, également parfaitement restaurée.
Il s'agit en fait d'un étau limeur vertical servant à usiner des encoches de
formes diverses.
(photo: andredemarles )
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières - 1
 
 
 

Quelques ébauches embouties de cuirasses et de réservoirs destinées à la
fabrication des lampes Wolf de type CF avant assemblage.
Ces pièces sont exposées dans une vitrine du musée.
(photo: andredemarles )
 
 
 
 
ARRAS, histoire de la prestigieuse fabrique de lampes minières - 1
 
 
 
lampe type PHr, un des très nombreux modèles de lampes conçues et fabriquées par la firme ARRAS, exposé dans une vitrine du musée.
( photo: andredemarles )
Tags : lampes de mineur, ARRAS, usine ARRAS, MAXEI, musée
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#Posté le samedi 30 juillet 2011 06:52

Modifié le mercredi 09 mai 2012 15:23

La fermeture de la fosse Delloye, c'était il y a 40 ans...

 
La fermeture de la fosse Delloye, c'était il y a 40 ans...
 
 
Ouverte en 1931, la fosse Delloye n'a fonctionné que pendant 40 ans.
Au plus fort de son exploitation, plus de 1000 personnes y travaillent pour extraire environ 1000 tonnes de charbon chaque jour.
Néanmoins, en raison de son manque de rentabilité, le puits ferme le 13 juillet 1971.
Le site est laissé à l'abandon, dans l'attente de son démantèlement.
Mais c'est un tout autre sort qui l'attend...
A la même époque, la direction des Houillères du Bassin du Nord et du Pas-de-Calais projette de créer un centre historique minier chargé de conserver la mémoire de trois siècles d'activité minière, industrielle et sociale dans le bassin minier du Nord/Pas-de-Calais.
L'idée est validée en 1973 et c'est la fosse Delloye qui est choisie pour abriter l'institution.
Le charme du lieu, sa situation proche du réseau autoroutier, sa position au centre du bassin minier, son caractère représentatif de l'exploitation d'entre-deux-guerre en font un site de premier choix.
Rapidement, au gré des fermetures de puits, le matériel et les documents affluent vers Delloye.
En 1982, l'Association du Centre Historique Minier est créée avec la participation de l'Etat (Ministère de la Culture), du Conseil Régional du Nord/Pas-de-Calais, du Conseil Général du Nord et des Houillères du Bassin du Nord et du Pas-de-Calais ; le site est ouvert au public en mai 1984.
Afin de commémorer les 40 ans de la fermeture du site, le Centre organise une célébration le mercredi 13 juillet 2011 et souhaite réunir à cette occasion toutes les personnes qui ont travaillé à la fosse Delloye.
Pour tout renseignement à ce sujet, vous pouvez contacter Monique Macquart au service communication du Centre Historique Minier au 03.27.95.82.82.
( photos couleur:  andredemarles )
 
 
 
La fermeture de la fosse Delloye, c'était il y a 40 ans...
 
 
 
La fermeture de la fosse Delloye, c'était il y a 40 ans...
 
 
La fermeture de la fosse Delloye, c'était il y a 40 ans...
 
 
 
La fermeture de la fosse Delloye, c'était il y a 40 ans...
 
 
La fermeture de la fosse Delloye, c'était il y a 40 ans...
 
 
La fosse Delloye en 1972, cliché saisi quelques temps après sa fermeture et bien avant qu'elle ne devienne l' actuel Centre Historique Minier de Lewarde.
( photo: Jean-Marie Minot )
 
Tags : Centre Historique minier de Lewarde, fosse Delloye, musée, chevalement
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#Posté le mardi 28 juin 2011 14:46

Modifié le mardi 28 juin 2011 15:12

Vestiges du patrimoine industriel de Marles les Mines.

 Vestiges du patrimoine industriel  de Marles les Mines.
 
 
C'est en 1852 qu'on effectua les premiers sondages révélant la présence de charbon dans la région de Marles.
Le premier puits d'un diamètre de 4,5 m est percé à travers diverses couches de marnes reposant sur un banc d'argile sableuses en 1853.
Malheureusement, le puits ayant atteint une profondeur de 55 m perca une nappe d'eau importante qui fit écrouler le cuvelege, le puits fut rapidement comblé.
On entreprit en 1854, le percement d'un nouveau puits situé un peu plus plus loin.
De nouveau en 1866, une catastrophe sans précédent survint ,le cuvelage céda sous la pression d'une rivière sous terraine, toutes les installations du carreau du jour, dont le chevalement disparaissèrent dans un cratère d'éboulement de 30 m de diamètre.
Par chance, il n'y eut aucune victime, sauf plusieurs cheveaux qui ne purent être remontés à temps.
Les investisseurs, conscients de la richesse du gisement ne renoncèrent pas et entreprirent le forage d'un nouveau puits, 50 m plus loin.
Le vieux 2 de Marles qui sera désormais en place jusqu'à sa fermeture en 1974.
En photo: le chevalement et bâtiment de la machine d'extraction entièrement restaurés du vieux 2 de Marles les Mines.
 
 
Vestiges du patrimoine industriel  de Marles les Mines.
 
 
Des cités entières de corons où logeait le personnel  de la Compagnie Minière.
Ces maisons étaient toutes semblables, sur un même alignement rectiligne et sans la moindre différence, conformes à l'idéologie des Compagnies Minières bâtisseuses de ces corons, qui considéraient que ses employés mineurs étaient tous égaux, unis et associés dans un travail commun...
Ces corons demeureront à travers les temps, un authentique symbole de la solidarité de la corporation minière....
Toutes ces habitations ont été rénovées au cours des vingt dernières années.
 
 
Vestiges du patrimoine industriel  de Marles les Mines.
 
 
Les plaques des rues, conservées en l' état, rappellent que les habitations et les rues étaient la propriété  de la Compagnie des Mines de Marles.
 
 
Vestiges du patrimoine industriel  de Marles les Mines.
 
 
Des hauteurs de Marles vue sur les terrils T4 et T22 en cours de démantèlement.
En arrière plan, le terril du N° 3 de Bruay.
Cette énorme masse de schistes est en fait, la fusion résiduelle des terrils T 4 et T 22 de l'important siège de concentration des mines de Marles: la fosse N°2 qui fût en activité entre 1858 et 1974 après avoir produit 48 000 000 tonnes de charbon.
La masse cumulée de ces 2 terrils était de 7 100 000 m3.
Le terril T 22, était mitoyen, de par son flanc gauche, à l'ancienne cité Quénehem de la fosse N° 6 de Calonne Ricouart.
En 1972, peu avant la fermeture du siège, sa réserve était de 1 250 000 m3.
En 1998, après une exploitation importante, entreprise par la société Jean Lefebvre, cette dernière n'était plus que de 590 000 m3.
Le terril T 4 avait des proportions d'avantage imposantes, sa réserve était de 5 900 000 m3 en 1998 et occupait au sol une surface de 40 hectares.
L'exploitation des schistes de ces terrils a repris l'an dernier.

 
 
Vestiges du patrimoine industriel  de Marles les Mines.
 
 
Les premiers corons sont bâtis à proximité des fosses afin d'éviter le transport d'ouvriers.
Toute leur vie les mineurs la passe dans ces corons.
Les retraités doivent quitter leur logement c'est pour cela qu'il est vital que le fils soit embauché à la mine.
Il hérite du logement et il n'est pas rare d'y rencontrer plusieurs générations.
Corons de la cité de la fosse N°3 des mines de Marles à Auchel.
 
 
Vestiges du patrimoine industriel  de Marles les Mines.
 
 
Certaines de ces habitations datent de la fin du XIXème siècle.
 
( photos: andredemarles )
Tags : mines de Marles, fosse vieux 2 de Marles, chevalement, musée, coron, terril, Marles les Mines
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#Posté le dimanche 10 avril 2011 15:40

Modifié le mardi 12 avril 2011 15:24

Exposition " Mineurs d' ici et d'ailleurs " au C.H.M de Lewarde

Exposition " Mineurs d' ici et d'ailleurs " au C.H.M de Lewarde
 
 
 
Dans le cadre de sa programmation consacrée à la culture minière dans l'art contemporain, le Centre Historique Minier a rassemblé près de deux cents photographies qui composent l'exposition " Mineurs d' ici et d'ailleurs ".
Vingt cinq photographes, artistes ou photo-reporters nationaux et internationaux offrent leurs regards sur le mineur dans le monde au cours des cinquante dernières années.
Ainsi, Sebastiao Salgado nous emmène dans les mines d'or du Brésil, Aleksander Prugar en Silésie, Allan Jenkins dans les mines de cuivre de Cuba, Martin Parr en Angleterre, Charles Henneghien au Maroc, Jean-Claude Wicky dans les mines d'argent de Bolivie...
Tous ces visages d' hommes, de femmes et d'enfants sont à la fois très différents mais chargés d'une même universalité.

L'exposition " Mineurs d'ici et d'ailleurs " est présentée au public du 1er février au 5 juin 2011,
en février du lundi au samedi de 13 h à 19 h, les dimanches et vacances scolaires de 10 h à 19 h,
puis à partir du 1er mars tous les jours de 9 h à 19h30 sauf le 1er mai.

Musée de la mine du Nord Pas de Calais
cente d'archives - Centre de culture scientifique de l'énergie
Fosse Delloye - B.P. 30039
59287 Lewarde
Tel: 03.27.95.82.82 Fax: 03.27.95.28.92
contact@cham-lewarde.com
Tags : exposition, Centre Historique minier de Lewarde, musée, Mineurs d' ici et d' ailleurs
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#Posté le lundi 24 janvier 2011 13:41

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